TRAVAUX UNIVERSITAIRES :
1) Mémoire
de maîtrise de Philippe Henry, soutenu à
l’Université de Bourgogne, avec Monsieur Jean GAYON, chercheur en
biologie, philosophe des sciences, spécialiste de DARWIN : il s’agit de
déterminer les rapports entre les aspirations éthiques de WITTGENSTEIN, et son
souci permanent d’identifier le paraître et l’être profond. D’où vient-il que
l’esthétique exprime, ou « montre », ce qui n’est pas dicible, notamment
ce qui relève de la moralité ?
2) Mémoire de
maîtrise de Jérôme Roudier, soutenu à
l’Université de Bourgogne, avec Monsieur Michel BASTIT, philosophe du droit,
spécialiste d’ARISTOTE. Ce mémoire tente de comprendre le sens de l’union de
deux substances radicalement distinctes chez DESCARTES, l’âme et le corps. Pour
cela, il s’appuie sur la réflexion scolastique de Duns SCOT sur le composé
hylémorphique.
3) Mémoire
de maîtrise de Stéphan Simon, soutenu à
l’Université de Bourgogne, sous la direction de Monsieur André DOZ, spécialiste
de HEGEL et de la philosophie allemande.
Voyez par exemple : http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=auteurs&obj=artiste&no=4100.
Le mémoire de Stéphan Simon vise à élucider, chez
NIETZSCHE, les rapports entre
4) Mémoire de DEA de Philippe Henry, soutenu devant Monsieur Pierre
GUENANCIA et Mademoiselle Maryvonne PERROT, à l’Université de Bourgogne, le 31 octobre
2002. Ce travail s’efforce de dire pourquoi PASCAL redoutait tant les passions,
les associait au péché, comme ses contemporains avaient coutume de le faire
(mais pas à un tel point que lui). La thèse, assez paradoxale, de ce mémoire
consiste à échafauder une théorie sur l’origine de la coïncidence entre
passions et péché, et on arrive, grâce à cet instrument, à découvrir que la foi
pourrait, chez PASCAL, n’être rien d’autre qu’une forme particulière de
« passion ».
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TRAVAUX PLUS PERSONNELS :
1) Pensées
sur Léo Strauss par Jérôme Roudier, à propos du
livre de STRAUSS Pensées sur Machiavel (titre original : Thoughts on Machiavelli, University of Washington Press, 1958). Ce
court texte annonce un travail plus vaste, centré sur l’idée de représentation
chez MACHIAVEL.
2) Subjectivité
et réseaux électroniques par Philippe Henry,
validé comme « UV » (texte largement dû, d'un côté, au cours de Monsieur Pierre
GUENANCIA sur
3) Le
toucher dans le De Anima d'Aristote par Philippe
Henry, validé comme « UV » (exposé élaboré à l'occasion du cours de Monsieur
Michel BASTIT sur le De Anima, à
l'Université de Bourgogne, en 2000-2001).
4) L'apparition
de la perspective par Jérôme Roudier, validé
comme « UV » (UV de DEA de Jérôme Roudier, partant de l'hypothèse selon
laquelle la perspective n'est qu'un code de représentation comme un autre, et
se posant dès lors le problème de son apparition historique, donné à l'Université
de Bourgogne, en 2003).
5) Dissertation sur le
Discours de la servitude volontaire d'Étienne de La Boétie. Il s'agit d'une autre UV de DEA de Jérôme Roudier. Le propos
en est de commenter presque ligne à ligne le texte afin de creuser le paradoxe
apparent du titre du discours et de voir s'il s'agit simplement d'un jeu de mot
heureux, d'une position politique classique et aristocratique ou d'une position
philosophique fondamentale.
6) Traduction par Jérôme
Roudier des passages concernant Nicolas Machiavel dans les Ricordi de son
père Bernardo Machiavelli. Marie Elise Testori,
professeur d’Italien, a bien voulu se charger d’en faire la correction. Pour
toute suggestion, merci de nous contacter (cf. mail en accueil).
7) Les biographies francophones de
Machiavel, par Jérôme Roudier.
8) De la méchanceté du je(u),
par Philippe Henry.
Il s’agit une réflexion
« à chaud » sur la possibilité laissée au jeu de mal tourner. Ce
n’est pas une critique habituelle de la violence dans les jeux vidéo, mais
plutôt une réflexion globale (très courte pour le moment) sur ce que peut
donner de mal une interprétation ludique du monde. Dieu merci, le monde n’est
pas qu’un jeu. Cette quasi-lettre, pas plus longue qu’une page de ‘blog’, se
veut le signal de la préparation d’une thèse s’intitulant « Le jeu chez
Pascal et Wittgenstein ». Cette question du mal, dans le jeu, n’est bien
sûr qu’un des nombreux aspects sur lesquels il me faudra enquêter. La question
principale est de savoir jusqu’à quel point le jeu conditionne, ou rend
possible, notre vie dans ce qu’elle a de spécifiquement humain : notre
être social, notre être discursif.
9) Sur Ernst Cassirer, par Philippe Henry, un court commentaire de la
« Logique des sciences de la culture » de CASSIRER, assez littéral et
ligne à ligne.
(Für Ottilie)